Cettemachine mesure environ 60 x 75 x environ 160 cm de hauteur. Le tableau de commandes se trouve en principe à droite sur le haut de la cuve. Un capot qui se relÚve permet de faire rentrer un panier aux dimensions standard de 50 x 50 cm. Il est indispensable pour ce type de laveuse d'avoir une table d'entrée et de sortie des paniers.
Pourles T-shirts en coton, les consignes de lavage sont simples : Retournez le T-shirt avant de le laver (afin de ne pas lâabĂźmer au lavage) ; Lavez Ă 30°C en cycle court (pas plus chaud) ; Ne pas passer au sĂšche-linge (pour Ă©viter de faire rĂ©trĂ©cir le coton). Par exemple, le tissu en coton bio des T-shirts GoudronBlanc est ultra doux.
GLSSA N°91-182 - Janvier/Février 2020 GL&SSA N°91-182 - Janvier/Février 2020 materiel Habitat Sympa 28 29 Concepteur de bungalow laverie Parmi les activités connexes des stations et des centres de lavage figurent en bonne place les laveries automatiques. Habitat Sympa à Seynod (74) a réussi à percer ce marché trÚs concurrentiel avec, entre autres, son
Vay Tiá»n Nhanh Chá» Cáș§n Cmnd. Le deal Ă ne pas rater Cartes PokĂ©mon oĂč commander le coffret PokĂ©mon Go Collection ... ⏠Voir le deal NEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclagePartagez AuteurMessageInvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet I look up to you. + Aaron Lun 5 Mai - 2033 I look up to you...Aaron & ElianaĂchec. La derniĂšre opĂ©ration fut un Ă©chec total. Son cĆur est irrĂ©parable et cet homme se voit condamnĂ© Ă attendre. Attendre dans lâangoisse cet appel, qui lui annoncerait quâil y a un coeur disponible pour lui. Attendre dans lâespoir que quelque un perde la vie pour quâil puisse poursuivre la sienne. La culpabilitĂ© est prĂ©sente, mais peut-on lui reprocher de vouloir survivre, de vouloir voir ses enfants grandir, se marier, avoir Ă leur tour des enfants ? Non bien sĂ»re que non. Il veut vivre, câest son droit le plus lĂ©gitime. Et lâattente est un supplice, mais elle nâest rien Ă cotĂ© de celui que provoquerait la mort. Sa famille se tient lĂ , derriĂšre cette porte tandis que je poursuis mon examen clinique. Je reporte toutes les constantes, vĂ©rifie consciencieusement les Ă©volutions, ses traitements et puis je mâen vais invitant la famille Ă de nouveau se rendre dans la chambre. Ils ne disent rien, ne me demandent rien. Une femme se contente de me faire un sourire forcĂ© que je lui rends, puis dĂ©tourne rapidement le regard sans doute par peur de lire quelque chose dans le mien. Je sais quâil ne trahit rien, je suis trop professionnelle, trop bien entrainĂ© pour laisser transparaitre la moindre Ă©motion et pourtant je souffre moi aussi. Ă ma façon, Ă des proportions moindres, mais je peux mâempĂȘcher de ressentir cette mĂȘme douleur sourde. Je nâai que vingt-quatre-ans, mais je nâarrive plus Ă dĂ©nombrer le nombre de patients que jâai vu dans cet Ă©tat, si proche de la mort. Pourtant, je mâĂ©tais promis de tenir le compte, de ne pas oublier les noms, les visages. Comme une motivation, pour que jamais je ne diminue les efforts, pour que jamais je ne cesse de persĂ©vĂ©rer, de mâamĂ©liorer. Mais mĂȘme cette mĂ©moire infaillible, qui nâoubliait rien des livres de mĂ©decine, des pathologies, des traitement nâavait pas rĂ©ussi Ă retenir le nombre de mes patients qui sont passĂ©s dans lâau-delĂ . CâĂ©tait impossible et jâai finit par lâaccepter. La mort fait partie de la vie, elle appartient Ă toute existence humaine et en tant que mĂ©decin, nous le voyions peut-ĂȘtre mieux que quiconque. Chaque jour nous y sommes confrontĂ©s, jusquâĂ y ĂȘtre habituĂ©. Et pourtant, je doute pouvoir un jour me faire Ă la cette peine, Ă ce sentiment dâĂ©chec lorsque lâun de mes patients meurt ou que son traitement Ă©choue. On me dit quâavec le temps, ça passe, quâau bout dâun moment, cela devient un peu plus facile. Et je leurs rĂ©ponds moi que si je nâarrive pas Ă omettre cette douleur alors que je ne suis que lâinterne, comment se dĂ©rouleront les choses lorsque jâaurais la pleine responsabilitĂ© dâun patient ? Aujourdâhui, je peux toujours me dire que la dĂ©cision de mon chef nâĂ©tait pas la bonne, quâil nâavait pas une bonne connaissance du dossier, mais quelles excuses aurais-je moi une fois titulaires ? LâhĂŽpital baigne dans un silence morbide, inquiĂ©tant. Ma garde est finit, mais je nâai aucune envie de rentrer chez moi et de me retrouver seule avec moi-mĂȘme. Personne ne mâattend et je ne suis pas pressĂ©e de me retrouver dans cet immense appartement aussi confortable soit-il. Mais, les couloirs sont dĂ©serts et ce nâest sans doute pas non plus ici que je trouverais quelque un pour me tenir compagnie. Dâun pas nonchalant, je me dirige vers les vestiaires. Au moins, je vais en fin pouvoir abandonner cette tenue de bloc. Ce vert est affreux, je ne sais mĂȘme pas comment j'ai pu m'y habituer. Si câĂ©tait moi qui dĂ©cidait de la tenue des chirurgiens, ce ne serait dĂ©finitivement pas ça que je choisirais. Mais quâimporte, trĂšs vite, l'ensemble sera au fond dâun panier pour la laverie et je pourrais de nouveau adopter une tenue Ă mon goĂ»t. Un regard dans le miroir m'informe, que quelques heures de sommeil ne me feraient aucun mal. Si j'Ă©tais comme la plupart de mes co-internes, je ne me soucierais sans doute pas de ces dĂ©tails. Je rentre chez moi aprĂšs tout, mais avec mes tendances perfectionnistes, il est hors de question Ă mes yeux d'avoir un visage de dĂ©terrĂ© dans le ferry pour Manhattan. Je prends donc soin de me remaquiller lĂ©gĂšrement, en insistant bien sur mes cernes, bien que le maquillage ne suffit pas Ă masquer totalement les traces de fatigue sur mon visage. Un peu de poudre, du baume Ă lĂšvre et j'ai l'air plus prĂ©sentable de cette façon. Le tout m'a pris une quinzaine de minutes. Je soupire, le prochain ferry arrive dans un quart d'heure et je n'ai absolument pas le temps de l'attraper. Il faut que j'attende une heure de plus Ă l'hĂŽpital et cette idĂ©e m'Ă©puise. Si auparavant, c'Ă©tait mon lieu de refuge, je n'ai ce soir pas l'envie d'y rester, ce temps est un peu rĂ©volu heureusement. Ma vie va un peu mais mieux, mais je reste dĂ©pitĂ©e. J'enfile maladroitement les bottines hors de prix que ma mĂšre m'a envoyĂ© et je me dĂ©cide Ă faire un tour en ville. Elles auront plus d'utilitĂ© lĂ -bas sans doute. Je sors si peu que toutes les magnifiques piĂšces de ma garde robe y restent. Je m'efforce de toujours avoir de beaux vĂȘtement quand je viens travailler, mais ça ne sert Ă rien puisque je dois constamment me changer. Ce n'Ă©tait pas Ă l'hĂŽpital que j'allais rendre hommage Ă ma passion pour la mode, mais tant pis. Peu perdre mon temps au maximum, je dĂ©cide de prendre la sortie la plus Ă©loignĂ©e et de passer par l'Ă©tage de neurochirurgie. Le silence y est ponctuĂ© par le bruit des machines, mais je suis habituĂ©e et je ne bronche pas continuant mon chemin perdu dans mes pensĂ©es. Je remarque juste de la lumiĂšre en passant devant le bureau du Dr Parker-Langlois. Il est dĂ©jĂ tard. Habituellement les titulaires ne restent pas si longtemps et je sais qu'il n'est pas de garde ce soir. Je m'approche doucement de la porte et je me dĂ©cide Ă frapper quelques coups. La porte est entrouverte. J'hĂ©site un instant, mais ne tenant plus, je passe ma tĂȘte par la porte. Il est lĂ . Docteur Parker... » commençais-je. Nous avions dĂ©passĂ© le stade des formalitĂ©s, mais on se savait jamais si quelque un arrivait dans le couloir. Je ne voulais pas me taper une vieille rumeur parce que j'Ă©tais un peu familiĂšre avec un mĂ©decin chef. Sans invitation de sa part pourtant, je m'engouffre dans son bureau et referme la porte derriĂšre moi. Je lui adresse un sourire d'excuse, mais je doute vraiment qu'il m'en veuille. Qu'est-ce-que tu fais encore ici aussi tard ? » lui demandais-je un peu Ă©tonnĂ©e. Tu es de garde ? » Je connaissais la rĂ©ponse Ă cette question et sa mine un peu triste me confirma que ce n'Ă©tait sans doute pas pour ça qu'il Ă©tait encore Ă l'hĂŽpital. Au moins on Ă©tait deux Ă ne pas en mener large ici. Je me demande vraiment ce qu'il a et la meilleure solution pour le savoir est sans doute de lui demander. Qu'est ce que tu as ? » Je parlais doucement, comme par peur de me faire surprendre et je ris Ă cette idĂ©e avant de me concentrer de nouveau sur celui qui me faisait face. Je ne m'Ă©tais pas encore assise, j'attendais son invitation bizarrement. Il semblait un peu ailleurs et j'espĂ©rais que ma prĂ©sence ne soit pas de trop. © Grey Ă©dition par Eliana J. Wellington le Jeu 22 Mai - 029, Ă©ditĂ© 1 fois InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I look up to you. + Aaron Sam 10 Mai - 1208 i look up to silence mâentourant est le bienvenu. Un peu de calme arrive comme Ă faire taire tout ce tumulte Ă lâintĂ©rieur de mon crĂąne et jâai lâimpression de pouvoir enfin respirer. Ma journĂ©e est terminĂ©e, jâai fait ma derniĂšre opĂ©ration voilĂ une demi-heure et je suis assis Ă mon bureau. Immobile, penchĂ© sur des papiers que je nâai mĂȘme pas pris la peine de lire. Ma main gauche est enveloppĂ©e dans une serviette humide sur laquelle jâai posĂ© une poche de glace. La douleur a Ă©tĂ© lancinante et jâai pris peur. Si pendant lâopĂ©ration tout est bien allĂ©, une fois sorti du bloc jâai cru que mon bras tout entier chauffait Ă blanc. CâĂ©tait insupportable. Ma premiĂšre rĂ©action a Ă©tĂ© de paniquer. Je ne croyais pas avoir Ă ressentir Ă nouveau une telle douleur mais le fait est que je la sollicite trop ces derniers temps. Depuis mon arrivĂ©e Ă New York, je ne lui ai pas vraiment laissĂ© le temps de sâhabituer. Ma rééducation a Ă©tĂ© longue et fastidieuse, horrible. Et cette douleur mâa ramenĂ© Ă cette pĂ©riode oĂč je ne pouvais tout simplement plus me servir de cette main. Quâadviendrait-il si elle se paralysait durant une intervention ? Que se passerait-il si je ne pouvais dĂ©finitivement plus opĂ©rer ? Toutes ces questions sans rĂ©ponse mâangoissent et je nâarrive pas vraiment Ă calmer cette panique sourde Ă lâintĂ©rieur de moi. MĂȘme si, aprĂšs deux cachets, tout semble sâĂȘtre Ă©vanoui, je reste paralysĂ© dâeffroi. Je ne veux pas perdre mon travail. Je ne peux pas me le permettre maintenant que jâai une famille. Je ne suis plus tout seul, je dois mâoccuper de Grayson, dâEliott. Subvenir Ă leurs besoins. Et comment je ferais si je perdais mon tout nouveau poste ici, Ă lâhĂŽpital ? Jâaurais pu rentrer plus tĂŽt ce soir si je nâavais pas eu mal Ă la main. Encore une fois, jâaurais ratĂ© le coucher du petit mais jâaurais eu plus de temps avec mon Ă©poux. Ăpoux que je dĂ©laisse et abandonne ces derniers jours au profit dâun emploi prenant et qui mâaccapare trop. Je le sais, je le sens. Je vois dans son regard que ses espoirs sont meurtris, quâil se sent seul. Mais voilĂ , je ne peux pas ne pas me dĂ©mener pour ce poste. Je dois me faire ma place au sein de cet hĂŽpital et ce nâest pas chose aisĂ©e quand on vient dâun pays Ă©tranger et quâon dĂ©barque, belle gueule toute souriante, en Ă©tant si jeune et surtout si douĂ©. Et puis, je dois avouer Ă©galement que je ne tiens pas Ă ce que Gray sache pour ma main. Il sâinquiĂ©terait encore plus quâil ne le fait dĂ©jĂ et cette discussion tournerait Ă la dispute. Et je nâai pas besoin dâune dispute en ce moment, surtout pas avec mon mari. Alors, comme un lĂąche, jâai prĂ©fĂ©rĂ© la fuite. Jâai prĂ©fĂ©rĂ© rester assis, seul, dans mon bureau plutĂŽt que de jouer la comĂ©die une fois rentrĂ©. Jâai honte et mon comportement est inadmissible, mais je nâai pas la force ni le courage de lâaffronter. De lâentendre dire que mon travail va me tuer. Quâil me faut arrĂȘter avant quâil ne soit trop tard. Mon travail est la seule chose que jâai accompli de bout en bout, tout seul. Comme un grand. Câest ma toute premiĂšre fiertĂ© aprĂšs des annĂ©es dâacharnement. Quâest-ce que je deviendrais si je nâavais plus ça ? Pendant tous ces mois de convalescence, jâai bien compris que je pouvais ĂȘtre un pĂšre, un fiancĂ© Ă©galement. Que câĂ©tait lĂ des rĂŽles magiques et qui me combleraient de bonheur. Vraiment. Mais, en Ă©tant honnĂȘte au moins avec moi-mĂȘme, je ne supporterais pas la vie dâhomme au foyer Ă la longue. Jâai besoin de travailler, de me lever le matin en pensant Ă tous ces gens que je vais aider. Câest mon moteur, mon leitmotiv. Ma famille compte pour moi, Ă©normĂ©ment, mais est-ce que je suis obligĂ© de choisir entre eux et ma carriĂšre ?Lorsquâune voix fĂ©minine mâinterpelle doucement, je relĂšve directement les yeux vers la porte de mon bureau et me dĂ©pĂȘche de dissimuler ma main couverte de la poche de glace. Eliana, je souffle presque avec soulagement lorsque je remarque le visage hĂąlĂ© de la petite interne sur qui jâai pris soin de garder un Ćil attentif. » Jâai retrouvĂ© en cette jeune femme beaucoup de celui que jâai Ă©tĂ© Ă lâĂ©poque de mon propre internat. DĂ©diĂ©e corps et Ăąme Ă la mĂ©decine, elle en oublie de vivre sa vie en dehors de ces murs blancs. Comme moi, elle sâoublie dans son travail pour ne pas penser Ă ce qui lâattend dehors. Ă lâĂ©poque, mon quotidien Ă lâextĂ©rieur de lâhĂŽpital ne ressemblait strictement Ă rien. Il nâĂ©tait quâun vague capharnaĂŒm sans aucun sens et je mourrais Ă petit feu. Câest ma rencontre avec Langlois qui mâa permis de vivre autre chose. De faire autre chose. De comprendre que je passais Ă cĂŽtĂ© des plus belles annĂ©es de ma vie, que je les gĂąchais. Et que je le regretterais amĂšrement plus tard, dans quelques annĂ©es. Quand il serait dĂ©finitivement trop tard. Alors jâai compris que je devais aider Eliana Ă saisir cette mĂȘme chose, Ă voir au-delĂ de sa blouse dâinterne. Elle est jeune, belle, intelligente. Elle a de quoi faire tourner les tĂȘtes et vivre de grandes aventures. Mais ce soir, je me sens ĂȘtre un sacrĂ© hypocrite quand on me voit Ă une heure pareille assis Ă mon bureau. Le doux refrain de la vie en dehors de lâhĂŽpital me semble bien malhonnĂȘte venant de moi. Non, juste quelques papiers Ă remplir, je rĂ©ponds vaguement. Une formalitĂ©. » En rĂ©alitĂ©, jâessaye juste de trouver de quoi excuser ma prĂ©sence ici pour ne pas rentrer chez moi et affronter mon Ă©poux. Tu as une petite mine, je remarque, la tĂȘte penchĂ©e sur le cĂŽtĂ©. Dure journĂ©e ? »Je ne peux mâempĂȘcher de tiquer lorsque la mĂ©tisse me demande de maniĂšre dĂ©tournĂ©e si jâai un quelconque souci. Dans un coin de ma tĂȘte se dresse une liste incomplĂšte que je pourrais lui sortir mais un reste de pudeur mâen empĂȘche et je baisse les yeux sur ma main gauche encore cachĂ©e. Je maudis ce foutu accident de la route. MĂąchoires contractĂ©es, je relĂšve le regard jusquâĂ mon interne et force un sourire fatiguĂ©. On ne peut pas dire que je sois le mari idĂ©al ces temps-ci, je rĂ©ponds, le ton amer et la mine dĂ©confite. Ni mĂȘme un pĂšre idĂ©al. En fait, je rate Ă peu prĂšs tout ce qui est dâordre privĂ©. Je suis venu ici en me faisant la promesse dâoffrir Ă ma famille une vie de rĂȘve et je me retrouve Ă les abandonner. » Quelque part, jâavais cette piĂštre excuse du salaire plus que consĂ©quent qui nous aide Ă vivre confortablement mais ça me dĂ©goĂ»tait rien que dây penser. JâĂ©tais bien placĂ© pour savoir que lâargent ne fait pas le bonheur, loin de lĂ . Mon petit discours comme quoi tu dois tâouvrir Ă la vie et ne pas rester enfermĂ©e dans cet hĂŽpital me paraĂźt bien hypocrite tout Ă coup, je ris faussement. Surtout quand on sait que je nâĂ©tais pas capable de faire de mĂȘme quand jâavais ton Ăąge et quâaujourdâhui encore, je fais passer ma carriĂšre avant ceux qui me sont chers. » Mais quâest-ce qui va pas chez moi, exactement ? Pourquoi est-ce que je dois bousiller tout ce qui me tient Ă cĆur ? Est-ce que jâai cette facultĂ© innĂ©e Ă dĂ©truire tout ce que jâaime au final ? Câest assez navrant. PathĂ©tique. Jâai toujours voulu, dĂ©sirĂ© une famille parce que la mienne a Ă©tĂ© complĂštement nulle et, maintenant quâon me lâa offerte, je suis juste en train de tout foutre en lâair. Minable. Je suis minable.© EKKINOX InvitĂ© Empire State of MindInvitĂ© Sujet Re I look up to you. + Aaron Dim 25 Mai - 445 I look up to you...Aaron & ElianaLorsque j'ai commencĂ© mes Ă©tudes de mĂ©decine, je ne savais pas prĂ©cisĂ©ment vers quelle discipline me destiner. L'oncologie apparaissait comme une Ă©vidence pour beaucoup. Mon petit-ami, mon merveilleux petit-ami, l'amour de ma vie Ă©tait mort de cette terrible maladie et tout le monde avait cette pensĂ©e saugrenue, que j'allais me diriger vers cette voie, dans l'espoir de sauver tous ceux atteint d'un cancer comme Aaron. J'Ă©tais incapable d'avoir ce raisonnement. Je ne voulais pas vivre ça toute ma vie. Bien sĂ»re, je ferais toujours tout pour que personne n'ait Ă subir la mĂȘme chose que moi, tout pour que cette maladie fasse le moins de victime possible. Mais j'Ă©tais incapable d'ĂȘtre au premier rang. J'Ă©tais incapable de me rĂ©veiller jour aprĂšs jour et de faire face Ă des gens victimes du mĂȘme mal. Cela n'avait rien Ă voir avec la duretĂ© des Ă©tudes, la complexitĂ© du domaine. AprĂšs tout, mon frĂšre ne me qualifiait pas d' intello » pour rien. J'avais toujours Ă©tĂ© le genre de fille premiĂšre de la classe, major de promotion. Non, ce n'Ă©tait dĂ©finitivement pas ça qui m'avait bloquĂ©. Ce qui Ă©tait rĂ©ellement difficile, c'Ă©tait l'impact l'Ă©motionnel. Un impact que j'aurais Ă©tĂ© incapable d'endurer. La force dont je pouvais me targuer autrefois avait disparu avec lui. Si auparavant, je faisais toujours face Ă tous les obstacles qui se prĂ©sentaient dans mon existence, avec force et dignitĂ©, j'ai eu tendance Ă fuir lorsqu'il n'a plus Ă©tĂ©. Il Ă©tait une certitude dans mon monde et le perdre, c'Ă©tait perdre un repĂšre, une part de moi, une Ă©norme part. Bien sĂ»re, il y avait ma famille, une famille qui m'avait trouvĂ© en Somalie, mais c'Ă©tait diffĂ©rent. J'avais beau m'ĂȘtre toujours sentie Ă ma place en son sein, je n'en restais pas moins non liĂ©e par le sang. Cela n'Ă©tait pas d'une importance majeure et cela n'en deviendrait jamais une, mais il y avait ce petit mais. Aaron et moi nous Ă©tions un tout. Nous aurions dĂ» ĂȘtre un tout pendant encore longtemps. Nous aurions du construire notre vie ensemble. Avec une famille Ă nous, je n'aurais plus eu ce minuscule sentiment ne pas ĂȘtre totalement liĂ© Ă un ensemble. Et la perte de cette idĂ©e fut aussi difficile Ă accepter. J'avais la sensation de me trouver seule malgrĂ© le fait que d'ĂȘtre entourĂ©e. Je me suis sentie coupable de ressentir cela alors que j'avais tellement de monde auprĂšs de moi, mais je n'y pouvais rien. Ou du moins, je ne voulais rien y faire. Ătre triste, c'Ă©tait tellement plus facile que de lutter. Travailler, Ă©tait plus facile que vivre rĂ©ellement. J'ai presque perdu mon amour, ma passion pour la mĂ©decine. Je n'aurais pourtant jamais pensĂ© cela possible. Ătre mĂ©decin, c'Ă©tait mon rĂȘve de petite fille aprĂšs tout. Un rĂȘve pour lequel j'Ă©tais prĂȘte Ă tant de sacrifices. Et pourtant avec cette surcharge, je ne rendais pas hommage Ă ma passion. Tout Ă©tait devenu automatique, Ă©puisant et le plaisir devenait absent. Il fallait que je lĂšve le pied, que je trouve un moyen de le faire, d'une quelconque façon avant que cela ne soit trop tard. Petit Ă petit, jour aprĂšs jour, un pas aprĂšs l'autre. Aaron a toujours Ă©tĂ© ce genre de mĂ©decin que petite je voulais devenir en grandissant. Comme ma mĂšre. Il a, non seulement un talent Ă©vident pour ce qu'il fait, mais il voue une vĂ©ritable passion pour son mĂ©tier. Un mĂ©tier qu'il aime, chĂ©rit et respecte. Un mĂ©tier pour lequel il s'est sacrifiĂ©. Et pourtant, lui a une vie, une famille. Des gens qui l'attendent le soir Ă la maison, une personne spĂ©ciale avec qui tout partager. Il a tout ce que je n'ai pas, mais il est quand mĂȘme lĂ , tard et je ne peux m'empĂȘcher de me demander pourquoi. Grayson et Eliott, doivent pour sĂ»re se demander ce qui le retient ici. L'avantage lorsqu'on est mĂ©decin, c'est qu'il subsiste l'excuse toute faite j'ai une urgence ! Nos proches peuvent difficilement nous reprocher nos horaires de folies sans Ă©prouver des remords puisqu'on sauve des vies. Du coup, on s'en sort plus facilement sans doute. Mais bonne excuse ou pas, l'absence est bien rĂ©elle pour eux et ils finissent toujours par en pĂątir, pour au final, nous en tenir rigueur. Quoiqu'il en soit, Parker est tellement un modĂšle pour moi, que je le vois difficilement faire un faux pas, une erreur. Il doit avoir une bonne raison de se trouver encore ici. Lorsqu'il me demande pourquoi j'ai cette petite mine, je me contente d'une rĂ©ponse simple et circoncise pour Ă©viter de trop porter l'attention sur ma personne, chose que je dĂ©teste. Oui, grosse opĂ©ration. Mais aprĂšs une bonne nuit de sommeil, ça va aller ! » Puis, c'est avec satisfaction, que je constate que ma petite phrase a l'effet voulu, il parle ! Mon ravissement est pourtant de courte durĂ©e en vue de ses paroles. Je n'approuve aucunement ce qu'il dit lorsque il Ă©voque le fait de ne pas ĂȘtre un bon pĂšre et un bon mari, mais je le laisse nĂ©anmoins s'expliquer. Ă force de le mettre sur un piĂ©destal, je ne voyais sans doute pas qu'il Ă©tait bel et bien un ĂȘtre humain avec ses tracas. Je persiste quand mĂȘme Ă penser que c'est une personne merveilleuse. Tout le monde a des hauts et des bas et ce n'est pas pour autant que ça fait de lui quelque un de mauvais. Ce n'est pas parce que tu travailles beaucoup en ce moment, que ça fait de toi quelque un de nĂ©gligeant. Tu as besoin de trouver ton rythme Ă New-York c'est tout. On veut tous bien faire, moi la premiĂšre, mais il ne faut pas trop se forcer, aprĂšs on perd le plaisir d'opĂ©rer. » Je n'arrivais pas Ă croire que c'Ă©tait moi qui jouais ce rĂŽle auprĂšs de lui. Je me tus donc pour le laisser continuer. Il m'Ă©voqua l'ironie de la situation lorsqu'il me conseillait auparavant de ne pas vivre Ă l'hĂŽpital alors que lui s'y trouvait toujours. Quelque part, il avait sans doute raison, cependant je n'Ă©tais pas vraiment d'accord avec le fait qu'il porte un jugement aussi difficile sur sa personne. Si tu veux mon avis, je te trouve un peu trop dure avec toi-mĂȘme. Ce n'est pas facile d'arriver dans un nouvel hĂŽpital. Et mĂȘme si je ne suis pas titulaire, je pense avoir une idĂ©e de ce que tu ressens. Les internes de ce programme de chirurgie sont dingues. Il faut te faire une place, mais en mĂȘme temps tu veux vivre ta vie. » Je marquais une pause pour au final enfin venir m'installer sur la chaise qui lui faisait face. Au moins, tu t'en rends compte. MĂȘme si je doute que tu fasses vraiment passer ton mĂ©tier avant ta famille. Tu as peut-ĂȘtre cette impression, mais si je te demandais ce que tu ferais entre une chirurgie et le spectacle de fin d'annĂ©e de ton fils, tu choisirais Eliott combien mĂȘme ce genre d'Ă©vĂ©nement n'est pas stimulant. » dis-je ne souriant. Et je ne le dirais jamais assez Ă qui que ce soit. Profite de ta personne. Profites en Ă fond. C'est un ordre ! » m'exclamais-je. Il avait la chance de toujours avoir celui qu'il aimait Ă ses cĂŽtĂ©s, il n'avait pas le droit de gaspiller son temps Ă se morfondre. Sinon tu vas finir comme moi ! Si je n'Ă©tais pas allergique aux chats, je serais sans doute vieille fille et avec une dizaine de ces spĂ©cimens ! » plaisantais-je. Ma vie n'Ă©tait pas aussi triste qu'avant. Il y avait bien ce futur rendez-vous qui m'excitait un peu et qui me fit lĂ©gĂšrement sourire, mais je n'Ă©tais en rien rassurĂ©e sur mon futur. Je me voyais toujours seule. Lui avait la chance d'avoir cette bulle, cette famille dont j'avais fait le deuil avec Aaron. Et puis, qu'est-ce-qui te met autant la pression, tu es l'un des meilleurs neurochirurgiens de l'hĂŽpital si ce n'est le meilleur ? Ils t'ont voulu quand mĂȘme ! » avançais je. C'est vrai, ils avaient acceptĂ© sa candidature dans ce grand hĂŽpital, ce qui en soit n'Ă©tait pas rien. Cela aurait dĂ» le rendre plus confiant alors pourquoi travailler autant. Je voulais me montrer plus prĂ©cises dans mes questions, mais j'avais peur de me montrer trop indiscrĂšte. Ă moins que tu ne sois nostalgique de ton internat ? Tu voulais de nouveau savoir ce que c'Ă©tait d'avoir l'hĂŽpital comme maison ? » Une petite plaisanterie que j'espĂ©rais ne pas ĂȘtre de trop. Le but Ă©tait d'allĂ©ger l'atmosphĂšre. Il devait savoir qu'il pouvait me parler de tout et que ce n'Ă©tait pas forcĂ©ment toujours Ă moi de m'appuyer sur lui. © Grey WIND. Contenu sponsorisĂ© Empire State of Mind Sujet Re I look up to you. + Aaron I look up to you. + Aaron Page 1 sur 1Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumNEW YORK CITY LIFE Archives Corbeille Bac de recyclage
Tout CONSEILS DE LAVAGECONSEILS DE SECHAGEMODE EMPLOI LAVERIEPRINCIPALES ERREURS MACHINES Nos conseils de sĂ©chage Pour un rĂ©sultat professionnel, nos programmes de sĂ©chage sâadaptent Ă vos besoins dĂ©licat, normal ou Ă©levĂ© grĂące aux cycles de 10 minutes. DELICAT Linge Textiles modernes / SynthĂ©tique Volume 1 Ă 5 kg SĂ©chage Entre 10 et 30 minutes NORMAL Linge MĂ©lange coton / SynthĂ©tique Volume 5 Ă 10 kg SĂ©chage Entre 30 et 50 minutes ELEVE Linge Couettes, oreillers, serviettes de toilette, draps, rideaux⊠Volume 10 Ă 18 kg SĂ©chage Entre 30 et 50 minutes Principales erreurs affichĂ©es E6 machine trop chargĂ©e une fois mouillĂ©e, lâessorage est moins performant E7 dose de lessive trop importante, les capteurs dâeau mettent la machine en arrĂȘt. Il faut alors rĂ©appuyer sur START. E10 machine trop chargĂ©e ou trop de lessive. RĂ©appuyez sur Start. Si cette manipulation ne fonctionne pas, la machine est trop chargĂ©e, appuyez sur la touche Express pour rĂ©cupĂ©rer votre linge. Le cycle dâessorage nâaura pas fonctionnĂ©. Vous pouvez utiliser la machine 11 sur le programme G pour faire uniquement un essorage. Merci de prendre contact avec le service assistance pour les modalitĂ©s dâutilisation. E45 machine 6 kg la machine est trop chargĂ©e. Merci de prĂ©venir le service assistance. E13 sĂ©choirs la machine est trop chargĂ©e. Que faire si une machine affiche un message dâerreur ? Si machine Ă laver affiche un message dâerreur, veuillez contacter le service technique au 06 69 40 76 60 ou vous rĂ©fĂ©rez au lexique des principales erreurs enregistrĂ©es. Que faire si votre machine Ă laver se termine aprĂšs lâheure de fermeture de la laverie ? Une fois lâheure de fermeture, les machines fonctionnent encore. Les horaires de la laverie Ă©tant liĂ©es aux horaires du Super U, vous pourrez disposer de votre linge dĂšs lâouverture du lendemain. Puis-je laisser mon linge dans la laverie et partir ? Lorsque votre machine Ă laver est lancĂ©e personne ne peut ouvrir la porte. Votre linge est donc sĂ©curisĂ© le temps du lavage. En revanche, une fois votre machine terminĂ©e, nâimporte qui peut ouvrir le hublot. Les sĂ©choirs, eux, ne disposent pas de sĂ©curitĂ©, vous pouvez ouvrir le hublot Ă nâimporte quel moment. Que faire si une machine est finie mais que le propriĂ©taire du linge nâest pas encore lĂ ? Dans ce cas, vous pouvez mettre le linge sur la table de pliage et utiliser la machine. Combien de temps dure le sĂ©chage ? Un sĂ©chage complet peut varier entre 20 et 50 minutes. Il dĂ©pend de la matiĂšre du linge Ă sĂ©cher. Comment dĂ©marrer un sĂ©choir ? Pour dĂ©marrer le sĂ©choir vous devez Rendez-vous Ă la centrale de paiement,SĂ©lectionnez le numĂ©ro du sĂ©choir,Effectuez le paiement,Fermez le hublot,SĂ©lectionnez une tempĂ©rature,Appuyez sur le bouton de dĂ©marrage du sĂ©choir. Lorsque votre sĂ©choir est lancĂ©, si vous effectuez un nouveau paiement, les temps se cumuleront. Comment choisir son programme de sĂ©chage ? Nos sĂ©choirs proposent 3 programmes TempĂ©rature minimum Linge dĂ©licatTempĂ©rature intermĂ©diaireTempĂ©rature maximum Linge Ă©pais Lâutilisation du sĂ©choir doit se faire avec prudence. Une utilisation excessive peut dĂ©tĂ©riorer votre linge. Comment charger son linge dans un sĂ©choir ? Afin de bĂ©nĂ©ficier dâun sĂ©chage optimal, il est recommandĂ© de remplir le sĂ©choir Ă moitiĂ© et dâouvrir le moins possible le hublot afin dâĂ©viter que lâair chaud ne sâĂ©chappe. Quelle est la durĂ©e dâune machine Ă laver ? La durĂ©e dâun cycle de lavage dĂ©pend de son plus rapide dure 25 minutes et le plus long 55 minutes. Comment dĂ©marrer une machine Ă laver ? Pour dĂ©marrer les machines Ă laver de la numĂ©ro 1 Ă numĂ©ro 6 vous devez Verrouiller le hublot,SĂ©lectionner le programme souhaitĂ©,Vous rendre Ă la centrale de paiement,SĂ©lectionner le numĂ©ro de votre machine,Effectuer le paiement, Pour dĂ©marrer les machines Ă laver de la numĂ©ro 7 Ă numĂ©ro 12 vous devez Verrouiller le hublot,Vous rendre Ă la centrale de paiement,SĂ©lectionner le numĂ©ro de votre machine,Effectuer le paiement,SĂ©lectionner le programme souhaitĂ©Appuyer sur le bouton START de la machine Ă laver Que faire si ma machine ne dĂ©marre pas ? Assurez-vous que le paiement a bien Ă©tĂ© effectuĂ© en regardant si le bouton de la centrale de paiement est bien figĂ©. Si câest le cas, ouvrez le hublot de la machine, refermez-le et appuyez Ă nouveau sur dĂ©marrer. Si le problĂšme persiste contactez le service technique au 06 69 40 76 60. Comment choisir son programme de lavage pour une machine ? Nos machines Ă laver proposent jusquâĂ 6 programmes TrĂšs chaud 90°C Linge trĂšs sale. TempĂ©rature adaptĂ©e pour linge coton blanc ou clair linge de lit.Chaud 60°C Linge normalement sale ». TempĂ©rature adaptĂ©e pour les dĂ©licat 60°C Linge normalement sale ». TempĂ©rature adaptĂ©e pour les sous-vĂȘtements dĂ©licats. Essorage 40°C Linge normalement sale ». Blanc et dĂ©licat 30°C Tissus dĂ©licats. AdaptĂ© pour les chemises et les blouses. Essorage Ă froid Programme doux pour la laine, la soie et les vĂȘtements lavables Ă la main. Essorage court. OĂč introduire la lessive ou lâassouplissant ? La lessive en poudre doit ĂȘtre introduite dans les bacs rĂ©servĂ©s Ă cet effet. Merci de consulter les panneaux dâinstructions. Comment acheter de la lessive? Le distributeur de lessive se trouve Ă lâentrĂ©e de la laverie. Pour acheter de la lessive, sĂ©lectionnez le bouton de la machine 17 et payez. RĂ©cupĂ©rez votre dose au distributeur et versez dans le bac prĂ©vu Ă cet effet. Si besoin, rééditez la manipulation pour une 2Ăšme dose. Comment effectuer un paiement Ă la centrale de paiement ? Pour effectuer un paiement, il faut appuyer sur le numĂ©ro correspondant Ă la machine que vous voulez dĂ©marrer et payer. Le bouton de la machine clignotera en bleu ou rouge au moment de la sĂ©lection et se figera une fois le paiement devez effectuer un achat aprĂšs lâautre. Comment charger son linge dans une machine Ă laver ? Afin de bĂ©nĂ©ficier dâun lavage optimal, il est recommandĂ© de toujours laisser un quart de la machine vide. Lorsque vous lavez du linge fragile, des vĂȘtements en laine par exemple, le tambour ne doit pas ĂȘtre rempli Ă plus de la moitiĂ©. Comment trier son linge ? Il est recommandĂ© de trier son linge par couleur et qualitĂ© de matiĂšre.
Tout le monde a une machine Ă quand on a une famille de 4 personnes, elle tourne tous les faut payer la lessive, mais en plus ça coĂ»te de l'Ă©lectricitĂ© et de l'eau...Combien ? Pour vous aider, nous avons fait le calcul pour combien ça vous coĂ»te Ă chaque fois que vous lancez un machine vous coĂ»te 0,93 ⏠d'Ă©lectricitĂ© et d'eau. Regardez RĂ©sultatEt voilĂ , vous savez maintenant combien ça vous coĂ»te Ă chaque fois qu'une machine Ă laver est lancĂ©e Ă la maison !Ăa fait mal au porte-monnaie, n'est-ce pas ?Surtout quand on se rend compte combien ça fait sur 1 an...Chaque annĂ©e, vous en avez pour 70 ⏠pour une famille de 4 personnes !Ou si vous ĂȘtes seul, ça fait 44 ⏠par calculs sont faits sur la base de 1 kWh = 0,18 ⏠TTC prix du kWh moyen chez EDF et sur la base de 1 m3 d'eau = 3,39 âŹ.Comment baisser le coĂ»t d'un lavage en machine ?Vous voulez faire des Ă©conomies sur le lavage de votre linge Ă la maison ?Bonne idĂ©e vu le prix que ça coĂ»te au quotidien !Le souci, c'est que c'est difficile de se sĂ©parer de sa machine Ă laver...Laver son linge Ă la main, c'est quasiment impossible pour une famille de 4 personnes...Heureusement, vous pouvez faire des Ă©conomies commencer par la lessive qui coĂ»te un bras ! Pour cela, je vous conseille notre recette Ă©conomique de lessive maison pouvez ensuite faire votre propre assouplissant en suivant notre recette maison ici ou encore mieux utiliser du vinaigre blanc Ă la n'oubliez pas de bien nettoyer votre machine Ă laver rĂ©guliĂšrement en suivant notre tuto la meilleure façon pour qu'elle continue Ă bien laver et qu'elle dure le plus longtemps possible. Partagez cette astuce Vous aimez cette astuce ? Cliquez ici pour l'enregistrer sur Pinterest ou cliquez ici pour la partager avec vos amis sur Facebook. Ă dĂ©couvrir aussi SĂšche-Linge Voici Combien Vous CoĂ»te Chaque SĂ©chage En Machine !Savez-Vous Combien Vous CoĂ»te Chaque Appareil Ălectrique En Euros ? La RĂ©ponse Ici.
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